LES ABORDS DE LA MAISON PAROISSIALE JUSQU’AU RUISSEAU
Sur l’avant, autour de l’espace bétonné, en partant à droite de l’escalier du 
perron, vous découvrirez : des impatiens de Balfour, un laurier d’Alexandrie, une clématite, un hortensia à feuille de chêne , une haie de buis (buxus) et de quelques loniceras nitida, une azalée et un weigélia blanc accompagné d’un petit rosier et de quelques érigérons. De l’autre côté une azalée et à nouveau des loniceras, un rosier et des lierres dans la jardinière, un fusain, un kolwitzia et le magnifique rosier Léonard de Vinci, dont les roses restent longtemps épanouies sans se flétrir De l’autre côté, face au champ Tournemouly, un carré de fleurs assez variable, contenant des rosiers, des digitales, des montbretias (petits glaïeuls oranges), un myrte, un kalmia rose, des dentelaires du Cap, un cœur de-Marie (Dicentra spectabilis), une verveine citronnelle, des agapanthes, des leucanthèmes (grandes marguerites), des coréopsis, des iris… Le long du mur de la maison : un rosier Pierre de Ronsard et d’autre rosiers, une potentilleblanche, des nigelles d’Espagne ou de Damas, un solanum bleu.
A l’arrière de la maison : des iris, un rosier à rose panachée, un genêt, des asters Un peu plus en avant : des cassias, un albizzia, des ancolies, des rudbeckias, un viburnum,un abutilon du Rio Grande avec ses amusantes fleurs rouges à petits jupons jaunes, un romarin, un spirée et quelques iris.Le terrain qui est en dessous du bâtiment comprend d’abord une haie avec un feijoa, plusieurs rosiers dont le superbe Pretty lady rose, des iris, un acer palmatum, des spirées, des nigelles, des fusains, un weigelia Arc-en-Ciel, des sauges de Fourcès, un buis, des cassias, des troènes tout près de l’albizzia qui jouxte le ruisseau Sur les autres bordures vous découvrirez : un saule tordu, des pêchers, un pommier d’ornement, des cannas(balisier), un sureau, des symphorines, des seringats, des budleia, un laurier, des camélias, un immense Chamaecyparis récupéré et planté après un enterrement. Il a grandi depuis ! Ne manquez pas vers le mois de mai de dénicher au pied d’un seringat, sans lui faire peur, le discret ornithogale (la dame-de-onze heures) qui ne montre ses petites étoiles blanches que lorsque le soleil l’effleure