Description du lieu

LA RIVE DROITE DU RUISSEAU, DEPUIS LE PONT BUSE JUSQU’A LA DEUXIÈME CASCADE EN AVALL’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est rive-d.png.
En longeant cette rive vous découvrirez selon la saison quelques plantes domestiques mais surtout une quantité de fleurs et plantes sauvages qu’on a peu à peu implantées ici malgré l’ombre intense qui y règne en été. Démarrez du petit escalier rustique près du chemin de Caubios. Sur la pente à votre droite, un ou deux loniceras nitida, passez sur une grande lavasse qui enjambe l’endroit où la source déverse son trop plein Voici des primevères bien implantées maintenant, un baguenaudier, des genêts, des rosiers (c’était le coin des boutures qui pour beaucoup sont restées là en proliférant), un ciste, des acanthes, des troènes, une bruyère blanche, des azalées, un camélia rose, un aucuba, des escallonias, seringats, hortensias, avec à vos pieds, des consoudes, des silènes enflés, le sceau de Salomon et sa tige comme un candélabre orné de clochettes, des lichnis-coucou rouge, des géraniums ou herbe-à-Robert et en arrivant au 2ème pont de bois, sur votre droite toujours le tapis de sol lamier qui se répand à vitesse grand V. Une grande azalée blanche, des hémérocalles essaient de se frayer une place dans cette débauche de végétation panachée Avant d’arriver au grand cèdre de l’Himalaya, un rosier pompom et un fuschia, un seringat, un budleia des rivières, des hortensias dont celui à fleurs de lilas rose, une bardane sauvage, des azalées et un rosier, des asters, un deutzia blanc, des molènes (bouillon blanc) qui s’obstinent à vouloir fleurir sur les passages au grand risque de s’y perdre, un camélia simple rouge et un immense seringat qui est le pied–mère des 25 autres qui émaillent le domaine. Il est originaire d’une bouture de Ance (Vallée de Barétous).Dans l’espace élargi près du ruisseau, des salicaires, des iris bleus ou jaunes, un troène d’Amérique et selon la saison des bugles rampants (ajuga), des impaciens, et l’impérial gunnera dont les feuilles immenses s’ouvrent vers le ciel comme une prière.

LA RIVE GAUCHE DU RUISSEAU, DEPUIS LE PONT BUSE JUSQU’AU CHAMP DU VOISINL’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est rive-g.png.

Vous pourrez découvrir des aconits napel, un viburnum, d’innombrables pulmonaires et primevères au printemps, des bambous, redoutables envahisseurs, un pavot acaule, sorte de coquelicot jaune, un clérodendron, arbuste dont les feuilles exhalent une mauvaise odeur, mais les fleurs un parfum délicieux, des acanthes, des weigélias, des spirées, des fougères à profusion, et passé le deuxième petit pont de bois, en face du gunnera, des osmondes royales, dont le parc contient de nombreux pieds absolument superbes  Quelques fusains et un exocorda à la floraison printanière d’une blancheur immaculée dessinent une haie longeant un sentier. Sous un grand saule pleureur, on pourra admirer au printemps des primevères, des asphodèles, des ancolies et des caltha palustris, des jonquilles et des iris des marais. Vers Pâques, deux arbres magnifiques laissent éclater leur floraison en grappe : le prunus padus à fleurs blanc laiteux. Un peu plus haut dans le bois des bouleaux, un églantier et des saules communs.

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